"le tiers, quel qu'il soit, permet de faire tenir le tout et dès qu'il a dualité c'est d'emblée frontal et donc explosif...tout se passe comme si être à deux venait menacer l'intégrité des deux personnages"
C'est un commentaire d'épicure sur ma critique du dernier Woody Allen auquel j'ai pensé tout au long du film Two Lovers de James Gray.
Ce film signe le retour de Gwyneth Paltrow après 4 ans d'absence et peut être la dernière prestation de Joaquim Phoenix qui fait une prestation remarquable.
L'amour se construit-il à trois ? une question qui revient assez régulièrement dans le cinéma américain ces derniers temps.
Ce film signe le retour de Gwyneth Paltrow après 4 ans d'absence et peut être la dernière prestation de Joaquim Phoenix qui fait une prestation remarquable.
L'amour se construit-il à trois ? une question qui revient assez régulièrement dans le cinéma américain ces derniers temps.
4 commentaires:
Mais moi j'aurais aimé connaitre ton avis sur 2 lovers justement ....
Personnellement, il m'a manqué la petite larme qu'on aurait du verser à la fin du film.... je n'ai pas été assez émue..
oui je sais ce n'est pas une critique valable :p
J'ai trouvé Tow Lovers un peu mièvre, rien avoir avec le dernier Woody Allen qui lui met vraiment en scène l'impossibilité du couple. Dans Tow Lovers on ne comprend rien du point de vue du réalisateur, tout se termine bien dans la logique d'un bon roman balzacien avec le triomphe des valeurs bourgoises.
Je ne pense pas qu'un couple se construit à deux ou trois. un couple ça n'existe jamais, juste une idée, une représentation mentale ephemere qui se dissipe très vite à moins que l'on soit aveugle ou idiot.
sinon, j'aime bien votre blog, je reviendrai plus souvent.
moi, je n'ai pas vu le film, juste un extrait
pkoi pas le voir
mais une chose est sur, c'est que l'amour est bien compliqué meme trop compliqué
:-)
En effet, le parallèle est très juste. Comme si on avait imposé un thème à ces deux réalisateurs pour mieux mettre en évidence leurs différences de style, car James Gray, a fait du James Gray malgré tout !
Ce qui est admirable chez lui c’est que tout sonne vrai et juste…au premier degré… et ça, peu de réalisateurs arrivent à le faire.
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